Ah toi, si tu savais
comme tu me manques. TOUT en toi me fait vibrer. Tes lèvres pulpeuses,
tes hanches généreuses et surtout, surtout, ta poitrine méga-volumineuse.
Combien de fois je me suis endormi avec ta photo dans la main? Dans
mes rêves les plus fous, y a des chandelles parfumées partout dans la
chambre à coucher, tu viens me rejoindre au creux de mes draps de velours
et de soie, et moi, romantique comme pas un, je te susurres à l'oreille:
"Alors, tu la sens ma grosse...QUOI!? Comment? Vous dites? L'anniversaire
de Morti???................................... On est pas là pour un
hommage posthume à Lolo Ferrari? Rhâââââ! On ne me dit jamais rien à
moi. Grmbl! Bon. Ça change toutes les données. Quoique. Heu...Morti,
ah, si tu savais comme tu me manques. Tes lèvres, tes hanches...et
non, du coup, ça a l'air moins sincère. Bon allez, sérieusement, je
te souhaite un joyeux anniversaire Marc. Je suis certain que ce "50
ans" n'effraie pas un éternel adolescent comme toi. C'est ce qui est
bien avec la BD; ça conserve. J'aurais adoré être sur place pour te
serrer la pince mais ce sera partie remise, car je compte bien aller
vous rendre visite un de ces quatre. Promis. Encore une fois JOYEUX
ANNIVERSAIRE et profite pleinement des 50 autres années à venir. Salut!
Denis
Goulet (alias MisterYman, alias Ginette), 11 octobre 2001